Quand le thermomètre commence à tutoyer les températures négatives, il est temps d’abuser du fromage sans mauvaise conscience. Mont d’Or, fondue, tartiflettes ou raclettes : à chaque spécialité son restaurant de prédilection.
Le mont d’Or, au Caquelon de Besançon

Il suffit de faire un trou au milieu du mont d’Or, d’y rajouter un peu de vin blanc et de le passer au four : voici la fondue au mont d’Or. Pour profiter de cette spécialité jurassienne, mieux vaut se rapprocher des meilleurs producteurs : direction Besançon, capitale du Doubs, où est justement produit le mont d’Or. Le très rustique Caquelon, institution franc-comtoise aux vieilles pierres, fait très bien fondre ces fromages affinés plusieurs mois.
La fondue savoyarde, au Village Igloo des Arcs

2000 mètres d’altitude, zéro degré, trois fromages de montagne : les meilleures conditions sont réunies pour savourer une fondue savoyarde exceptionnelle, au Village Igloo Les Arcs. De retour dans votre chambre quatre étoiles de 34 m2, au Mercure Les Arcs 1800, vous profiterez d’une vue imprenable sur la montagne.
La raclette, au Savoyard de Chambéry

Le Chef Christophe Flicker a sélectionné les meilleurs exemplaires de raclette au lait cru ou fumée au feu de bois chez ses amis producteurs de Savoie. Il en sort des portions généreuses qui coulent directement de la meule à l’assiette. Ce joli nuage fromager vient napper délicieusement une bonne sélection de charcuteries et de légumes frais, dans un joli cadre contemporain.
La tartiflette, au Chalet Savoyard de Paris

Derrière la porte du Chalet Savoyard, rue de Charonne, Paris semble déjà bien loin. Il faut imaginer une ambiance d’après-ski, mais sans les skis. Ici, outre les fondues, la tartiflette y est déclinée quasiment à l’infini : au reblochon ou au bleu, avec de classiques lardons ou une délectable viande des Grisons, aux cèpes ou même au saumon. Le dessert n’est pas obligatoire.